PRIX DIRECTS PROMOTEURS | PAS DE FRAIS D'AGENCE
Les taux d'intérêt des prêts immobiliers stagnent : ça se confirme !
Les taux d'intérêt des prêts immobiliers stagnent : ça se confirme !

Pas de surchauffe estivale en matière de taux d'intérêt de crédits immobiliers. Au contraire, au mois de juillet, ceux-ci ont atteint 1,55 % en moyenne.

 

Des taux d'intérêt de crédits immobiliers en stagnation

Le coût d'un emprunt immobilier est donc en très légère baisse d'un point de base (0,01 %) sur un mois, confirmant la tendance constatée au 2ème trimestre.

A partir d'avril 2017, la hausse à cédé la place à une lente augmentation des taux d'intérêt (1 point de base par mois), exprimant plus la déformation de la production qu'une véritable progression selon le rapport de l'Observatoire Crédit Logement/CSA.

Autrement dit, la hausse des taux ne concernait déjà pas toutes les durées de prêts mais seulement les plus courtes.

Cette fois, l'inflexion est générale : les taux d'intérêt à 15 ans sont en baisse de deux points de base (1,39 % contre 1,41 % en juin dernier), et ceux sur 25 ans sont plus bas d'un point (1,87 % contre 1,88 %). Les taux à 20 ans, eux, restent stables à 1,60 %. Mais les prêts de longue durée, plus onéreux, se démarquent sur l'année.

Si en moyenne les taux d'intérêt sont de 3 points au-dessus de leur niveau de juillet 2016, les taux des prêts à 25 ans sont plus bas de 3 points.

 

Des durées de crédits immobiliers qui s'allongent en moyenne

Ces emprunts bénéficient, dans le secteur immobilier neuf, aux ménages primo-accédants, qui n'ont pas ou peu d'apport et étalent donc leurs remboursements dans le temps.

Les durées s'établissent donc à un niveau élevé : elles se sont d'ailleurs encore allongées depuis la fin de l'année 2016 avec une durée des prêts de 217 mois en moyenne en juillet 2017.

Il faut dire que la prise de conscience collective de la fin de la baisse des taux, pousse l'ensemble des consommateurs à accélérer leur achat d'appartement neuf.

Conséquence de la remontée des taux d'intérêt, les renégociations ne représentent en effet plus que 33 % des crédits nouveaux en juin 2017, contre 42 % en mai... et 62 % en janvier 2017.

En quelque sorte, le mouvement s'essouffle, car les prêts qui pouvaient être renégociés l'ont déjà été.

Seuls les crédits souscrits au début de l'année 2016 sont encore potentiellement concernés, en raison d'un écart de taux d'intérêt suffisant pour être avantageux.

Ultiméa vous accompagne dans votre projet

Investissement Pinel
Quel sera le montant de vos économies d'impôts ?

Actualités récentes :